Une année record en cybercriminalité, un danger omniprésent

Maintenant que la technologie fait partie de notre quotidien, il est désormais incontestable que celle-ci nous apporte plusieurs problèmes. Le vole de crypto monnaie, la pornographie juvénile ainsi que la fraude sont à la hausse selon les autorités japonaises. Les crimes liés à la technologie prennent beaucoup d’ampleur depuis 2014. En effet, on estime que le vole de crypto monnaie s’est élevé à plus de 67.7 milliard de Yen au Japon uniquement. L’industrie du cybercrime est donc devenu très lucrative pour les criminels. Un record de plus de 9000 cyber-crimes ont été enregistrés en 2018 au Japon seulement .

Les échanges de pornographie juvénile sont de plus en plus courant et sont difficiles à retracer. Les cybercriminels sont très habiles et les autorités ont peinent à en venir à bout, principalement à cause des cryptages qui rendent les crimes pratiquement impossibles à retracer.

[NurPhoto/Getty/Kyodo]

Bien que les policiers tentent de se doter de nouvelles technologies, afin de combattre les crimes, il est très difficile de contrer les nouveaux cyber pirates qui commettent des cyber crimes de plus en plus élaborés. Le cyber crime est devenu un marché très lucratif et c’est donc surtout à des fin d’argent que les criminels opèrent. Les compagnies doivent donc engager des firmes privés afin de protéger leur plateforme informatique. Le marché du  »policing numérique » est donc en plein expansion et en forte demande. La sécurité informatique se frotte à plusieurs nouveaux défis. Les carrières en sécurité informatique sont devenu envisageable et lucrative.

Avec le développement des marchés noirs en ligne et le fameux  »dark web » les autorités sont confrontées à un défi monumental. Un gouffre sans fond où les pires criminels se cachent et où des images, fichiers et vidéos inimaginable et horrible se cachent. Tous les services dont les criminels ont besoins sont disponibles à cette endroit.

Lorsque quelqu’un met la main sur de l’information, il est facile de la transmettre partout dans le monde et ceci très rapidement.

Dans le domaine du privé les agences de protection informatique se chargent de protéger les informations des grandes entreprises qui font appèlent à leurs services. Mais qu’en est-il des crimes comme la pornographie juvénile, la vente de drogues ou le blanchiment d’argent? Ces crimes sans frontières qui sont partout mais nul part à la fois. Qui se chargera d’un fichier illégal russe copié en Angleterre et envoyé au États-Unis? Les nouveaux enjeux sont sans frontière et presqu’impossible à contrôler et à contrer.