Le nombre de cyberpédophiles arrêtés a explosé à Montréal: suivez en vidéo une équipe d’enquêteurs.
La cyberpédophilie est de plus en plus répandue, ce qui peut avoir été causé par la popularité grandissante des réseaux sociaux en général. Par contre, la reportabilité des crimes de pornographie juvénile et de cyber pédophilie est aussi de plus en plus élevée depuis 2012. C’est ce que nous démontre l’article suivant. Avec l’expansion de l’utilisation d’internet, avoir accès à de la pornographie juvénile ou en distribuer est accessible à tous, cela entraine une nouvelle forme de criminalité. Dans cet article, nous pouvons suivre deux enquêteurs dans une journée de travail dans leur unité, ils cherchent à faire diminuer la cyberpédophilie au quotidien. Ils nous apportent dans leur quotidien pour nous montrer les étapes et l’importance de leur travail. Ils doivent agir rapidement et efficacement en collaboration avec chaque personne qui est impliquées. Les enquêteurs effectuent environ 1-2 arrestations par semaine et ils effectuent un grand travail de terrain et non pas seulement dans leur bureau. De plus, les gens qui sont attirés par les enfants par exemple, vont se diriger directement vers l’internet. Les enquêteurs affirment vouloir arrêter le plus de gens possible pour prévenir les futurs crimes que ces prédateurs pourraient commettre. Comme il est affirmé par les enquêteurs dans la vidéo, il faut se détromper de penser que les prédateurs sexuels sont une catégorie de gens spécifique, car les policiers ont démontré que ce sont des personnes de tous âges et avec plusieurs caractéristiques différentes qui peuvent être des cyberpédophiles.
Une enquête est formée de plusieurs étapes importantes. Le critère de succès qui caractérise la plupart des enquêtes constitue à l’absence de la criminalité. Les enquêtes dans ce cas, sont tenues grâce aux nombreuses dénonciations qui sont rapportées à la police et ceux-ci augmentent de plus en plus. L’exemple de la petite fille qui dit inconsciemment à sa monitrice de camp de jour, une affirmation qui a été prise au sérieux par les policiers qui sont vigilant en raison de l’expansion de ces cas. Une unité a été créée spécialement pour ce genre de crime; l’Unité d’exploitation sexuelle des enfants du service de police de la Ville de Montréal (SPVM) donc le nombre d’effectif dans la police pour ce genre de crime facilite aussi les arrestations. Ce qui est pratique, car les crimes d’agressions sexuelles, pornographie juvénile etc… sont des crimes graves, donc qui a besoin d’une attention plus marquée des policiers.
Nous pouvons faire un lien avec le concept de «police intensive» qui a pour principe de tolérance zéro, qui s’attaque à un petit détail qui pourrait mettre en jeu la qualité de vie des citoyens. En ce qui concerne les agressions sexuelles, les policiers sont définitivement tolérance zéro. Il font tout en leur pouvoir pour éviter ces crimes le plus possible, pour le prévenir.
Cette présente photo montre deux policiers qui entrent dans un bâtiment pour aller perquisitionner du matériel à quelqu’un qui suspecte pour un crime.

Il faut se détromper que les enquêteurs font seulement que du travail de bureau, car dans ce cas-ci, ils font beaucoup plus de travail de terrain. Leur travail consiste en autres à la police intensive, donc la tolérance zéro spécialement dans les cas d’agression sexuelle dont nous savons l’immense gravité de ces crimes. Nous pourrions aussi caractériser les enquêteurs comme «police préventive» car ils informent de la dangerosité que peuvent avoir les réseaux sociaux et les gens qu’ils les utilisent, car ils peuvent être remplis de personnes avec de moins bonnes intentions. Ils encouragent aussi à dénoncer en cas d’agression sexuelle et démontrent qu’avec le plus de dénonciations possible, ils peuvent arriver à faire augmenter le nombre d’arrestations. Par exemple, il affirme qu’en arrêtant un prédateur qui utilisait le web, ils avaient réussi à prévenir une réelle agression sexuelle que le suspect à avouer vouloir commettre dans le futur. Il faut donc qu’ils agissent rapidement et efficacement pour éviter la suite qui aurait été malheureuse.
Un mouvement a été mis sur pied pour les gens victime d’agression sexuelle de dénoncer, de favoriser la dénonciation et qu’il n’y a pas de honte à avoir; le mouvement #MeToo qui devient de plus en plus populaire sur les réseaux sociaux et qui consiste aux victimes d’agressions sexuelles à dénoncer. Cela incite les gens qui désiraient garder le silence ou qu’ils ont gardé le silence pendant plusieurs années à dénoncer sans gêne pour aider à faire avancer les choses. Finalement, pour les enquêteurs dans l’Unité d’exploitation sexuelle des enfants du service de police de la Ville de Montréal (SPVM) ont comme principal but l’absence total de cyber pédophile ou les cas d’agressions sexuelles
